
Ce billet est un hommage, une fenêtre ouverte sur un chagrin qui, malgré le temps, reste vif et profond. Il y a un an, une mère s’est envolée, laissant derrière elle un vide immense, des souvenirs précieux, et un amour indélébile.
À travers des textes et des poèmes, j’ai voulu mettre en mots ce que beaucoup ressentent sans toujours pouvoir l’exprimer. Ce manque quotidien, ces instants où l’absence devient presque palpable, et cette tendresse qui, elle, ne disparaît jamais.
Ces lignes ne sont pas seulement les miennes, elles sont aussi les vôtres. Que vous soyez en deuil ou simplement touchés par la perte d’un être cher, j’espère que ces mots trouveront un écho en vous, une façon de dire l’indicible et de rendre hommage à celles qui nous ont tant donné.
Un an sans toi, maman. Ces textes sont pour toi, et pour toutes celles qui veillent sur nous, de là où elles sont.
Poème : Un an sans toi, maman
Un an. Un an déjà que tu es partie, et pourtant, chaque jour me rappelle à quel point tu me manques. Ce n’est pas seulement ton absence physique qui pèse, c’est tout ce que tu étais dans mon quotidien, tout ce que tu représentais.
Le matin, quand je me réveille, il y a ce vide étrange. Avant, tu étais souvent la première personne à qui je pensais. Parfois, je prenais mon téléphone pour t’appeler, juste pour te dire bonjour ou te demander un conseil banal. Maintenant, je me surprends encore à tendre la main vers ce téléphone, avant de me souvenir que tu ne répondras plus.
Il y a tellement de petits moments où je ressens ton absence. Quand je cuisine, par exemple. Tu savais toujours comment ajouter cette touche parfaite, ce petit ingrédient magique qui transformait tout. Moi, je tâtonne, et j’aimerais tellement entendre ta voix me dire : "Ajoute juste une pincée de ceci." Même ta façon de me taquiner quand je ratais un plat me manque terriblement.
Et puis, il y a les fêtes. C’était toi qui leur donnais tout leur sens. Noël sans toi, c’était comme une chanson sans mélodie. Tout semblait vide, même avec tout le monde réuni. Tu étais le cœur de ces moments, celle qui unissait, celle qui faisait en sorte que tout soit parfait, juste par ta présence.
Parfois, c’est encore plus dur dans les moments heureux. Quand quelque chose de bien m’arrive, mon premier réflexe, c’est de vouloir te le dire. Mais tu n’es pas là. Et cette joie devient tout de suite un peu plus fade. Tu étais toujours ma plus grande supportrice, celle qui savait exactement quoi dire pour rendre les petites victoires encore plus belles.
Le soir, c’est souvent pire. Quand tout est calme, le poids de ton absence se fait sentir plus fort. J’aimerais pouvoir te raconter ma journée, te demander ton avis sur tout et rien. Tu avais cette façon unique de m’écouter, de rendre mes soucis moins lourds.
Un an sans toi, c’est un an de vide, un an d’habitudes à réapprendre sans toi, un an à chercher des repères que tu as emportés avec toi. Mais c’est aussi un an où j’ai compris à quel point tu as marqué ma vie. Chaque geste, chaque pensée, chaque souvenir de toi est un trésor que je chéris.
Maman, tu me manques. Pas seulement dans les grands moments, mais dans tout ce qui faisait le fil de nos vies. Tu étais ma lumière, ma force, mon refuge. Un an, et pourtant, le manque est aussi vif qu’au premier jour. Je t’aime. Pour toujours.

Poème 1 : Un an sans toi
Un an déjà que tu es partie,
Maman chérie, douce amie.
Ton rire emplit encore nos cœurs,
Mais ton absence ravive nos pleurs.
Les jours défilent, pourtant figés,
Ton souvenir reste gravé.
Une étoile veille au firmament,
C'est toi, lumière de l'instant.

Poème 2 : L'ombre d'un ange
Un an s'est écoulé, silencieux,
Depuis que tu es montée aux cieux.
Maman, ton amour nous éclaire,
Comme une flamme douce et sincère.
Chaque souffle du vent nous rappelle,
Tes gestes tendres, tes mots qui ensorcellent.
Dans nos cœurs, tu restes à jamais,
Maman d’amour, notre éternité.

Poème 3 : Un an de souvenirs
Un an déjà que le temps s'efface,
Que ton départ a laissé sa trace.
Les photos, témoins de tes éclats,
Revivrent des moments d'autrefois.
Chaque fleur qui s'ouvre dans le jardin,
Me murmure ton nom au creux du matin.
Un an, maman, mais tu es partout,
Dans nos rires, nos larmes, et chaque "nous".
Un an déjà, maman
Un an que tu es partie, et chaque jour sans toi est un combat silencieux. Ton absence est partout, dans les gestes les plus simples, dans les moments que je voudrais partager avec toi.
Le matin, il manque ton "Bonjour", ce simple mot qui réchauffait tout. Quand je suis perdue, j’entends encore ta voix dans ma tête, mais elle ne suffit pas à combler ce vide. À table, le silence est lourd, car il n’y a plus tes anecdotes, tes rires qui faisaient tout oublier.
Je te cherche dans les photos, dans les souvenirs. Je me raccroche à ces instants, mais ils me rappellent ce qui n’est plus. Le manque, lui, est constant, comme une ombre qui suit mes pas.
Un an sans toi, c’est une éternité de questions sans réponse, de joies incomplètes, de nuits remplies de larmes. Mais c’est aussi un an à comprendre combien ton amour m’a construite, combien tu fais encore partie de moi.
Maman, tu es partout et nulle part à la fois. Je t’aime. Tu me manques plus que les mots ne pourraient jamais le dire.
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